Ah février…février et ses 28 jours, février et ses épidémies de grippe…mais aussi février avec sa Saint-Valentin, et tout ce qui va avec…

Et cette année, ce qui allait avec, c’était « l’évènement » 50 Nuances de Grey au cinéma. Alors comme on est « in » aux vendredis du vin, on a traité des 50 Nuances de vin

Tout a commencé avec le billet d’André qui a eu bien du mal à trouver sa bouteille. Mais heureusement, il a retourné sa cave et l’a trouvée, tapie dans l’ombre, sans étiquette ni capsule. Habillée que de son vin (qui finalement, goûte pas si mal visiblement), d’une belle histoire et d’un saucisson de compétition (sic), c’est passé comme une lettre à la Poste !

50_nuances_de_vinCe qu’André et Sandrine ont en commun ? C’est d’aimer une bouteille, sans forcément aimer comment le mec qui est derrière travaille. C’est vrai que c’est toujours problématique. Après, je pense qu’humainement, Woody Allen est un type affreux, mais j’adore ses films donc bon… Mais je m’égare !

Bref, Sandrine était face à un dilemne (« lemne ! » A blagues pourries, je lui rends la pareille), parler ou pas de ces vignerons avec qui elle a quelques différents. Donc pour la peine, elle nous a laissé avec beaucoup de coeur (et de tristesse) avec un Pinot Gris Altenbourg du Domaine Weinbach, en l’honneur de Colette Faller, décédée le 11 de ce mois bien gris.

C’est aussi un vin de souvenir que nous a présenté Maïlys. Dans un très beau billet, elle nous raconte l’histoire des Larmes du Père, le Saint-Joseph de la maison Alain Paret qui était le préféré de son grand-père.

Le vin de souvenir ne faisait pas partie de la liste presque exhaustive de notre causeur du Vin Parleur. Comme quoi, il y a bien plus que 50 Nuances de Vin !

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Ambiance plus légère du côté de chez Nathalie qui nous parle de son amour pour le Txakoli (dont je ne connaissais même pas l’existence), son petit Tariquet à elle qui lui prolonge ses vacances.

Le péché mignon de David, c’est son Rozeta. Alors oui, c’est de la macération carbonique, mais de la bonne monsieur ! Et il paraît qu’il aime en boire en secret pour flatter son palais de « fillette innocente » (je demande à voir…).

Restons dans ces vins secrets avec le vin de votre serviteur : Le Muscadet. Hellfest oblige, on ne se refait pas !

Guillaume enfin nous a parlé non pas d’un, mais de plusieurs plaisirs coupables, en passant du Faugères blanc au Picpoul de Pinet.

Enfin, last but not least, Fred du vortex du gosier nous a présenté son vin qui donne la banane, ce Picpoul (mais noir cette fois-ci) du domaine de l’Ile StMartin. Comme quoi il faudrait aller à Gruissan l’acheter par camions entiers. Challenge relevé, je m’en vais louer un 33 tonnes de ce pas ! Le temps de passer mon permis, j’abandonne donc à Fred la présidence des Vendredis du Vin pour la 74e édition ! Let’s go !!!